31/07/2017

[Vidéo] Resolve : "Rapture" (Paroles / Lyrics)

Le projet musical Resolve basé à Lyon prend véritablement forme avec un troisième titre en écoute, évidemment accompagné d'une vidéo.

"Rapture" avait été présenté sur la scène du Longlive Rockfest au mois de juin 2017 et il est désormais possible de l'écouter en boucle via la chaîne Youtube Dreambound. Après "Exposed" et "Abyss", "Rapture" semble s'attaquer à un problème de taille : la religion dans nos sociétés modernes. Un titre aux textes engagés et dénonciateurs. Vivement la sortie d'un recueil au format physique !

This atmosphere, this smell
All those people sane inside their holy places
This icy silence, the ringing of the bell
A bunch of liars, trying to hide themselves


I'm sick of being fooled by a book
Sick of being blinded by a veil
Blood flows, do they just enjoy the show?

They say white, I see gold
Too many untold stories, too many secrets
They say doves, I see crows
I'll never be the lamb of their fold


Broken homes in the name of those ghosts
So much energy wasted for the sake of wasting
Nourishing lies, dazzling light
We pay the price of your own fight
Breaking the bricks assembled by our own hands

I've been told they're listening, and blaspheme is a crime
I've been told they're watching, I guess they're fucking blind

Should we trust someone living in the sky
When we can't trust those by our side?

I'm sick of being fooled by a book
I'm done being blinded by a veil
Don't turn us into your martyrs
We won't save this world with prayers

27/07/2017

[Vidéo] Stupid Karate : "Stand Out Of My Sunlight" (Paroles / Lyrics)

Oubliez la HD et les effets spéciaux de qualité : le meilleur groupe (et le plus fun ?) de Punk-Hardcore (du Nord) de la France est de retour avec une vidéo à rendre aveugle n'importe quelle taupe des interwebs : Stupid Karate présente un nouveau clip et son nouveau gratteux avec des images pour "Stand Out Of My Sunlight".

Pour rappel, "Stand Out Of Sunlight" est extrait de l'EP Punk Is A Free Pricing Corpse sorti en mars 2017 et toujours en téléchargement gratuit via la page BandCamp du groupe, tout comme le premier EP éponyme datant d'octobre 2016. Voilà.

I'm a rock in your shoe 
The mirror of your inner lose 
No one can hurt me 
Look at you, I'm free 

(Pray to your gods I want anarchy 
Barking like a dog I spit on your ideologies) X2 

He's the first punk in history 
Father of Joey, Dee Dee, Tommy and Johnny 
Living in a jar with living rats 
Like a bum in a russian dead squat 

Thousand years before 77 
There was only hell, no place for heaven 

Only interested by wine and poems 
Sodomized at ten to become a man 

I don't wanna be a lighthouse in the storm 
The trash, the filth is my new kingdom

26/07/2017

[Vidéo] Yellow Town : "Trauma / Coma"

Non, il n'y a pas que du Métal ou du Punk Hardcore sur la scène nivernaise, et plus précisément à Nevers. Dans un tout autre registre, Yellow Town est en train de se faire un nom et de tracer sa route.

Le projet musical, débuté en solo dès 2012, devient un duo en 2015 puis un trio en 2017 avec l'arrivée au sein de la formation de Baptiste - aka Albert Conan - qui mène déjà depuis quelques temps son projet solo Folk. C'est aussi à lui qu'on doit les textes du premier album de Pethrol (Figures) sorti pendant l'automne 2016.

Avec déjà un EP et un album au compteur (tous deux en écoute intégrale via la page BandCamp du groupe), Yellow Town a désormais pour objectif d'incorporer son nouveau membre et de faire évoluer le projet vers d'autres sphères sonores où le Rock psychédélique et parfois enragé des années 70, avec le Blues, rencontrent l'Electro et la mélancolie d'une scène davantage orientée shoegaze. Le résultat est là, avec l'enregistrement d'une nouvelle composition s'étalant sur neuf minutes et un clip tourné par Skope Pictures sous forme d'un plan séquence en slow motion entre les murs de l'emblématique Café Charbon de Nevers. On est rapidement hypnotisé et la sauce prend facilement : c'est propre, mature et la suite s'annonce déjà prometteuse avec plusieurs concerts et résidences pour la seconde moitié de l'année 2017 ! Affaire à suivre, donc.

25/07/2017

[Vidéo] Converge : "I Can Tell You About Pain" (Paroles / Lyrics)

Cela fait presque trente ans que Converge s'est imposé en tant que grand empereur du Mathcore et Hardcore chaotique mais la bande de Kurt Ballou a encore des choses à raconter puisque le groupe américain sortira le 3 novembre 2017 son neuvième album baptisé The Dusk In Us.

"I Can Tell You ABout Pain" est un prétexte pour la sortie d'un EP le 25 juillet 2017 mais s'accompagne aussi d'un clip que voilà, étrangement tout aussi captivant qu'inapproprié pour ce morceau.

Sick matriarch
We are worlds apart
Your dysfunction rips
The roots from my heart
I swear that I'm trying
I swear that I'm trying, but
You don't know what my pain feels like

And our memory dims
A bitter sting sets in
The resentment grows
And my blood thickens

I swear that I'm trying
I swear that I'm trying, but
You don't know what my pain feels like
You don't know what my pain feels like

I just need to leave, just have to find a way out
I just have to run, just need to fight my way out
Stay calm, stay calm, keep your head down
I just need to leave, just have to find a way out
I just have to run, just need to fight my way out

You don’t know what my pain feels like

19/07/2017

[Vidéo] Arcane Roots : "Off The Floor"

Le trio anglais d'Arcane Roots sortira son prochain album Melancholia Hymns le 15 septembre 2017 et a donc amorcé une promotion en bonne et due forme avec la sortie d'un premier clip pour "Curtains" à la fin du mois de janvier 2017. Le groupe a ensuite proposé un second titre à l'écoute avec "Matter" courant mai.

C'est désormais un troisième morceau qui s'offre à nous, avec un clip : ce "Off The Floor" présente tout ce qu'Arcane Roots sait faire de mieux, avec quelques sonorités électroniques en plus, ce qui semble être le véritable challenge de ce futur disque pour les musiciens (pour les prestations scéniques). C'est beau, magique et ça envoie !

18/07/2017

[Album] Deftones : "Gore"

Artiste : Deftones
Album : Gore
Huitième Album
Sortie : 2016
Genre : Métal Alternatif, Rock Expérimental
Label : Reprise Records
Morceaux à écouter : Hearts/Wires, Gore, Phantom Bride
♥(♥)
Écouter l'album sur Youtube <

La suite. Alors qu'un peu plus de deux ans séparent les sorties respectives de Diamond Eyes et Koi No Yokan, il aura fallu presque quatre ans à Deftones pour pondre un huitième album dont la pochette ne présente même plus le nom du groupe. Entre classieuse sobriété et choix pédant, il est assez difficile de reprocher quoi que ce soit à Deftones sur ce point tant l'effet est employé par d'autres groupes, souvent moins connus ou à la carrière moins imposante. Dans tous les cas, la bande originaire de Sacramento continue son petit bonhomme de chemin en proposant un opus dont le (poétique et lumineux) visuel contraste fortement avec celui de son prédécesseur. On notera toutefois le penchant qu'a le groupe pour l'ornithologie, cet album n'était pas le premier à présenter un volatile en guise d'artwork (souvenez-vous de Diamond Eyes).

Carpenter vs. Deftones ? Si il y a bien une chose qui transparaît dans la discographie de Deftones, c'est l'ambiance qui règne au sein de la formation au fil de sa carrière (sans parler du physique de Moreno qui a littéralement joué au yo-yo). Gore est cependant une énigme et fait office de casse-tête à ce sujet. Il est en effet très difficile de dire ici si l'album a été produit dans la douleur ou dans l'entente suite à des concessions faites par chaque membre, parfois dans la douleur, mais ayant permis le travail d'équipe. Le fait est que les interviews données par le groupe au moment de la sortie de Gore mettent en évidence une forme de désaccord sur la direction musicale au moment de la composition des titres. D'un côté, certains membres défendent une réelle connivence entre les musiciens pendant les phases de composition et d'enregistrement (interview en anglais) tandis que Carpenter reconnaît, à mi-voix, ne pas avoir réellement pris de plaisir à jouer sur cet album (interview en anglais), concédant même qu'il ne "voulait pas vraiment jouer sur cet album", allant jusqu'à ajouter qu'il "ne compte pas quitter le groupe" mais que c'est un peu "comme si le groupe le quittait". Des mots qui pourraient être anodins mais qui pèsent lourd sur la balance lorsqu'on sait ce qu'a déjà traversé Deftones. Le groupe est pourtant l'un des rares piliers du Néo-Métal des années 1990 à avoir su évoluer dans son approche musicale tout en survivant et conservant ses fans de la première heure, malgré des difficultés internes plus ou moins évidentes.

Une première écoute difficile. S'il y a bien une chose qui est très difficile - voire impossible - à faire, c'est écouter Gore sans faire de comparaison directe avec Koi No Yokan, dernier opus en date : les ingrédients sont sensiblement les mêmes, la guitare huit cordes est de sortie et les ambiances électroniques bien présentes, ce qui avait donné naissance à une véritable pépite en 2012. Ici, bien que l'ouverture sur "Prayers/Triangles" soit justifiée par la rapide montée sonore opérée en début du morceau, l'aperçu de l'album fait avec ce titre est plutôt moyen : malgré des ambiances feutrées et quelques notes poétiques de clavier, la guitare de Carpenter sonne comme incroyablement molle, la frappe de Cunningham est bizarrement transcrite et le bonhomme propose un jeu qu'on ne lui connaissait guère, sans parler de la voix de Moreno d'une étrange douceur, les quelques cris en fin de morceaux sonnant plutôt comme un prétexte à rappeler que Deftones faisait du Métal, avant... On fronce gentiment les sourcils, à la fois surpris et curieux d'entendre la suite car c'est véritablement une forme de Rock planant qu'on découvre là, "(L)Mirl" tâtant même le Post-Rock sur certains passages. Mais ce qui vient après fait rapidement déchanter : avec "Acid Hologram" et tous les points forts qu'on pourra lui reconnaître, on peut aisément admettre que Carpenter se soit fait chier à jouer sur des morceaux comme celui-ci. Musicalement, ça traîne, c'est lent et manque cruellement d'attaque. Même Chino Moreno semble s'ennuyer profondément sur ce titre. Et il en va de même pour une bonne partie du reste de l'album. C'est un peu comme si chacun n'y croyait pas vraiment. Sauf que Deftones a déjà démontré par le passé que l'expérimentation n'était jamais mise de côté dans sa musique en sortant souvent des sentiers battus du Néo-Métal, genre que le groupe a bien labouré à ses débuts. Difficile, donc, de dire si tout n'est pas fait en âme et conscience pour explorer, tenter des choses et parfois même, réussir à en extraire une nouvelle essence qui mettrait en relief la capacité du groupe à innover et se renouveler. Quoiqu'il en soit, il y a un immense fossé entre Gore et son prédécesseur et la première écoute s'achève ici avec peine, comme si l'essai n'avait cette fois pas été transformé.

Expérimentations. Au fil de sa discographie, Deftones a tenté pas mal de choses, il faut l'admettre. Mais chaque album n'a pas touché tout le monde de la même façon. Alors que pour certains, l'album éponyme de 2003 était une véritable pépite qui succédait intelligemment à White Pony, pour d'autres, l'étrangeté de cet opus, avec ces expérimentations et touches électroniques, en a perdu plus d'un, sans doute parce que s'éloignant un peu (trop ?) de l'identité du groupe à ses débuts. Mais toutes ces excentricités peuvent s'expliquer par les différents penchants musicaux de Chino Moreno qui l'ont mené à s'investir dans plusieurs side-projects, notamment Team Sleep dès l'année 2000, puis plus tard Crosses ou Palms (pendant que Carpenter, lui, se consacre à Sol Invicto dès la fin des années 2000). Gore semble donc faire un écart, s'autorisant certaines influences mais aussi certains caprices de Chino au détriment des avis de l'intégralité des musiciens. Entre les riffs de Heavy Métal sur "Doomed User" joués à la huit cordes par Carpenter, les ambiances électroniques psychédéliques sur "Xenon" ou les solos de guitare sur "Phantom Bride" (avec Jerry Cantrell d'Alice In Chains en invité), Gore étale toute une galerie de nouvelles compositions et sonorités qu'on n'avait pas beaucoup l'habitude d'entendre chez Deftones. Une prise de risque évidemment respectable mais pas toujours facile à encaisser dans les oreilles, ce qui pousse parfois à se demander si c'est bien du Deftones qu'on est en train d'écouter ("Geometric Headdress"). Au final, apprécier Gore n'est pas une chose facile si on reste attaché à ce qui fait toute l'identité musicale de Deftones sur ses albums les plus emblématiques.

Double tranchant. Soyons clairs : Gore n'est pas un mauvais album. C'est même un bon album de Rock (la plupart des critiques internationales l'ont plutôt encensé), notamment parce que c'est un disque qui essaie, qui explore et s'avère être une quête de nouvelles sonorités opérée par le groupe. Et c'est pas mal fait non plus, finalement. Mais ce côté expérimental n'est pas un très bon exemple de ce qu'a pu (et sait) faire de mieux Deftones. Cependant, la musique est une affaire de goûts et reste, comme toute forme d'art, quelque chose de très subjectif. Il y a donc des albums (bons ou mauvais) qu'on aime écouter, et d'autres non. En cela, certains ont aimé et d'autres reconnaîtront les points forts de Gore, tandis que d'autres regretteront que cette suite de Koi No Yokan n'ait pas été un prolongement de ce dernier. En ce qui me concerne, il y a peu de chance pour que j'écoute Gore autant de fois que son prédécesseur ou que tout autre album de la discographie de Deftones à ce jour parce que, soyons francs, il est quand un peu chiant...

16/07/2017

[Vidéo] David Maxim Micic : "Damar"

David Maxim Micic est un "gratteux sensible". Tout comme ses compères Plini ou encore Jakub Zytecki, le musicien excelle dans la composition d’œuvres puisant clairement leurs forces dans le Métal progressif mais en y injectant des doses d'Electro, d'arrangements à l'aide d'autres instruments avec un soupçon de Jazz ou encore des samples de voix.

"Damar" est extrait de l'album Who Bit The Moon (en écoute intégrale sur Youtube) sorti au début du mois de mars 2017 et profite d'un clip monté à partir d'images tournées lors de prestations Live et en tournée. L'intégralité de la discographie du bonhomme est à retrouver sur sa page BandCamp. Et c'est beau !

15/07/2017

[Vidéo] No Trigger : "Dogs On Acid"

Voilà bien cinq ans que No Trigger n'avait rien présenté de neuf. Heureusement, 2017 est (déjà) une (super) bonne année en ce qui concerne les sorties et le groupe de Punk Rock originaire du Massachusetts a présenté un nouvel EP - Adult Braces, qu'il s'appelle - de quatre titres en écoute intégrale sur BandCamp ou Youtube. Une nouvelle qui fait bien plaisir aux fans du groupe qui attendaient depuis toutes ces années et qui prévoient donc, non sans humour, un album pour après 2020.

"Dogs On Acid" est présenté avec un clip décalé présentant une équipe de journalistes et reporters pas très professionnels. Une façon de se moquer d'un "système" qui n'est pas sans rappeler ce qu'avait fait Enter Shikari pour "Arguing With Thermometers" en 2012.

14/07/2017

[Vidéo] Jabberwocky : "Honeymoon" feat. Tessa B.

C'est confirmé : Jabberwocky s'est bel et bien éloigné de son Electro planant et bourré d'ambiances pour quelque chose de beaucoup plus dansant et... conventionnel.

Après "Late Nights", "Honeymoon" est le second titre de l'EP Make sorti en mars 2017 à recevoir un clip. Des images à l'esthétique toujours aussi soignée mais dont il est difficile d'en comprendre le sens. Mis à part un hôtel aux tapis recouverts de ce qui semble être des pictogrammes de vulves et une référence à Shining pour le tricycle, on pourra se poser la question suivante : passe-t-on de l'enfance à l'âge adulte pendant une lune de miel ?

13/07/2017

[Vidéo] Comeback Kid : "Somewhere, Somehow"

Les canadiens de Comeback Kid seront de retour en 2017 avec un nouvel album baptisé Outsider qui sortira le 8 septembre chez Nuclear Blast.

Afin de faire la promo de ce futur disque (le sixième du groupe), on a évidemment droit à quelques morceaux balancés sur la toile, ces mêmes titres ayant déjà été joués sur scène lors des nombreuses dates effectuées par la bande depuis le début de l'été, notamment le Hellfest en juin. C'est donc avec un clip accompagné de pas mal d'images Live que ce "Somewhere, Somehow" est à découvrir, histoire de patienter encore un peu.

12/07/2017

[Vidéo] Ocean Grove : "Stratosphere Love" (Paroles / Lyrics)

Il y avait pas mal de groupes à suivre en cette année 2017. Récemment, The One Hundred a sorti son premier album (en écoute intégrale sur Youtube) mais ce sont les australiens d'Ocean Grove qui ont ouvert le bal avec un premier album baptisé The Rhapsody Tapes et sorti au début du mois de février 2017 (en écoute intégrale sur Youtube aussi).

Cette fois, le groupe originaire de Melbourne nous (re)plonge au cœur de son Odd World en nous invitant à écouter "Stratosphere Love" dans un clip servi avec des images aux effets étranges (certains sont d'ailleurs similaires à ceux du clip de "Shadow Moses" de Bring Me The Horizon) avec toujours la participation du sixième membre du groupe en tenue excentrique. L'un des titres les plus sympas de l'album pour un clip bien cool ! Et ça ne donne envie que d'une chose : se repasser les clips de "Thunderdome" et "Intimate Alien".

A piece of me slowly dying to make it through
Secretly I pray so hard now, I bet you did too
What, what, what?

I’ve been feeling all the grace that you’ve been throwing at my feet, it’s so cold, its so cold.
I’ve been feeling at my fingers I can feel it at my feet, its so cold its so cold.

A piece of me slowly dying to make it through
Secretly I pray so hard now, I bet you did too

You said it so well yourself complex, my complex 
Strokes correct, pressure placed on your hips 
You said it so well yourself complex, my complex
The morning cities on the back of our necks

Are you with it now?
Can you see the pleasure in it now 
Are you with it now?
Can you see the pleasure in it now?

Say you’re with it, say say you’re with it with it

04/07/2017

[Vidéo] Jakub Zytecki : "Letters"

Jakub Zytecki ne vous dit peut-être rien. Le guitariste polonais est pourtant l'une des têtes pensantes du projet musical Disperse au sein duquel officie désormais Mike Malyan (ancien batteur de Monuments). Le bonhomme suit en parallèle une carrière solo et a sorti un album, Wishful Lotus Proof, en écoute intégrale sur sa page BandCamp et sur lequel on retrouve des collaborations avec d'autres gratteux dont la renommée n'est désormais plus à faire : Misha Mansoor de chez Periphery, Plini ou encore David Maxim Micic.

"Letters" est extrait d'un EP qui devrait sortir à la fin du mois de juillet.

01/07/2017

[Vidéo] I Love My Neighbours : "Hello"

Vous avez toujours rêvé de faire le buzz sur Internet ? De cumuler les millions de vues sur Youtube ? Révisez donc tout ce qui a marqué le web récemment avec le nouveau clip de I Love My Neighbours, sorte de pot pourri de toutes les vidéos qui ont eu un franc succès à travers le monde.

Au programme, Ice Bucket Challenge, Les Tutos (avec une apparition de Jérôme Niel en prime), le Star Wars Kid, le Water Bottle Flip Challenge, plein d'autres trucs et bien évidemment, des chats ! Bref, voilà un condensé de tout ce qui a beaucoup été partagé sur la toile ces dernières années, le tout présenté sous forme d'un plan séquence aux allures de Facebook Live.

Si avec ça, le groupe I Love My Neighbours ne fait pas parler de lui, c'est à n'y rien comprendre ! "Hello" est extrait de l'EP du même nom sorti le 30 juin 2017.